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Chapitre 13
Combien d'heures j'ai passé dans cette pièce, noire et ptofonde comme un gouffre sans fond. Je ne sais plus très bien si j'ai juste pensé ou crié, réfléchis ou pleuré, me souvenir ou cauchemardé. Mes sens ont disparuts, je suis fatiguée.
Quand enfin, la porte s'est ouverte, j'était recroquevillée au fond de la pièce, seule, si seule...
La lumière m'a brûlée les yeux, un garde est entré, m'a attrapé par le bras et m'a traînée du sol jusqu'au couloir. Je laissais échapper un gémissement de douleur ; j'avais si mal! Pourquoi les lampes brillaient-elles tant ? Je me suis rapidement relevée, tant bien que mal, toujours tirée par l'autre brute., lorsque qu'une pensée sinistre me traversa l'esprit :
"Et si les autres étaient partis sans moi ?"
Je dégageais vivement mon bras de l'éteau du garde.
"J'ais pas besoin de vous pour marcher, lui ais-je lancé"
Il a eu l'air surpris puis il a continué à avancer comme si rien n'avait changé. Quand on est arrivé au bureau du dirlo, j'étais déjà assez frustrée. La pièce était tapissé de rouge et or avec au milieu une grande table couverte de dossiers mais aucune traces de portables. Le dirlo était tout souriant de ses dents pointues avec son air de débile triomphant.
"Je suppose que cela t'as suffit, m'a-t-il lancé en ricannant"
Je sers les dents, je ne veux absolument pas retourner au saloir. Le dirlo dit au garde de me ramener avec les autres toujours tout sourir. Je me demande combien de temps j'ai passé au saloir, peut-être une heure, une nuit ?... Le garde me dépose finalement dans la coure et se barre vite fait. Le soleil brille trop fort, j'ai super mal aux yeux et j'ai chaud. En mettant ma main devant mes yeux pour me faire de l'ombre, j'apperçois Elisabeth et Nathan qui se précipitent vers moi.
"ça va ?, me demandent-t-ils"
Je murmure que "pas trop" et je pars vers les autres.
Il était 11h30 environ et nous sommes partis manger.
Je leur raconte le saloir, la salle "seul" et les noms de portes que j'ai apperçu.David griffone un plan sur une des serviettes ; il trace 4 lignes horizontales et 5 lignes verticales. Je regarde avec attention le petit tableau qui prend forme.
"Là, dit-il en dessinant une petite flèche, c'est l'entrée qui arrive au couloir. De chaques côtés, il y a environ 4 salles. La 1ère à droite est la porte "chance" d'Aléonnord. NOus ne savons pas encore ce qu'elle contient. La 1ère à gauche, c'est la "révèle" de Quentin, la 2ème à droite, la "fuis" de Nathan, celle de gauche, la salle "tombe" encore inconnue. La 3ème à droite c'est la "coupe" d'Edwige, à gauche la "baston" de SImon. 4èm à droite, c'est la "seul" de SAcha et la 4ème à gauche..., poursuivit-il en hésitant un instant, raaah ! on ne sais pas du tout."
IL dessine vivement un point d'interrogation sur la dernière case libre.
"On en connait plein enfaite, s'écrit joyeusement Quentin"
Elisabeth le dévisage d'un air gentillement moqueur, comme une grande soeur regardant son petit frère. Je vais enfin commencer à sourir, lorsque je remarque soudain l'abscence de Simon.
"Personne n'a vu Simon ?, je demande d'une voix légèrement alarmée"
La bande stressaille et jete rapidement des regards dans le refectoire.
"Où est-il ?, chuchote Guillaume avec inquiètude
- Si je le savais je vous l'aurais pas demandé, je réponds ironiquement"
On est mal. Simon s'est-il barré ou est-ce encore un coup du dirlo ? IL fallait qu'on le retrouve et vite...
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Commentaires
hehehe, quel concour de blagues pourrave, mais merci pour vos remarques et vos suggestions ^^
Pas vraiment , c'est plutôt moi qui l'écrit (blague pourri )
Oui , c'est juste moi qui dit ça
Rooooh! Je me tue à écrire des com' détaillés, et vous, vous en mettez des versions "mini"!^^
J'adooooooore! Mais ton héroïne n'est pas bien maline! Elle aurait dû fermer les yeux et s'inventer une histoire... Pk pas parler toute seule? Mais bon, je ne suis pas sûre que dans cette situation on ait la présence d'esprit nécessaire pour réfléchir méthodiquement...^^
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Alors pour toi, sourrir c'est grogner?^^