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Le samedi suivant, Marianne, Elisa, Clara et moi nous retrouvâmes chez moi. Clara m'avait demandé d'amener deux filles de la danse pour réaliser un projet dont elle devait nous donner les détails(on se demande encore pourquoi elle faisait tant de mystère).
"Voilà, nous dit-elle, j'aimerai participer à un concours organisé dans quelques mois, qui propose de travailler avec un élève futur professionnel et trois autres personnes qui font de la danse en amateur.
-En gros, un fort et trois nuls, l'interrompit Elisa (celle là, avec son pessimisme à toute épreuve...).
-Mais non! Les deux ne se comparent pas!
-Et alors? On voit toujours une différence!
-Laisse-la continuer, Elisa, s'il te plaît, s'interposa Marianne.
-Oui, renchéris-je, çà m'intéresse, moi (avec un coup d'oeil appuyé vers mon amie râleuse-pire que moi, et pourtant, c'est difficile!)!
-Il n'y a pas de chorégraphie déjà faite, il faut l'inventer, sur la musique de la danse des cygnes, dans le Lac des cygnes. S'il vous plaît, dites oui!nous implora Clara. Même si on ne participe pas au concours, c'est mon rêve de danser sur cette musique avec trois autres personnes. C'est grâce à ce rêve que j'ai commencé la danse!"
Alors là, je mets quiconque au défi de refuser une demande pareille. Déjà, danser avec une fille aussi douée que mon amie, c'était terriblement tentant, et en plus, si c'était son rêve... Marianne était tout aussi enthousiaste que moi et même Elisa se laissa convaincre (et çà, c'est un miracle!).
Nous préparâmes notre chorégraphie et sacrifiâmes tout notre temps libre (même Elisa, je tiens à la féliciter pour cet effort énorme, venant d'elle) à son perfectionnement. Mais elle ne me plaisait pas tant que çà. Dans un moment d'énervement dû à la fatigue, Marianne me lança:
"Dans ce cas, tu n'a qu'à la faire toi-même toute seule!
-Très bien, ripostai-je, agacée. Je vous ferai cette chorégraphie pour la prochaine fois, vous verrez!"( mais où était passée la fille calme que je suis d'habitude? Et bien elle a peut-être définitivement disparu!). Et je me suis retrouvée avec le travail de quatre filles en trois semaines à effectuer toute seule en deux jours (voilà ce que c'est de s'énerver très trop facilement!). J'avais intérêt à y consacrer tout ce que je pouvais! La présentation de mes devoirs allait en souffrir, mais tant pis! (De toutes façons, tant qu'ils sont faits, hein!)
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Quand, quelques jours plus tard, je poussai la porte de l'ECDL, mon école, je trouvai 3 trottinettes à l'entrée, au lieu des 2 habituelles d'Elodie et d'Andie. D'ordinaire, je ne remarque jamai les détails de ce genre, et aucun autre non plus d'ailleurs, mais ce soir-là, cette trottinette m'a étonnée. Je me demande encore pourquoi.Cà aurait aussi bien pu être une autre fille qui avait amené la sienne pour être à l'heure! J'ai secoué la tête, faisant osciller mon chignon déjà rudement éprouvé par ma course pour éviter le retard. Heureusement qu'il me restait 2 ou 3 épingles au fond de mon sac! Je soupirai à l'idée de passer une dizaine de minutes à les retrouver et montai jusqu'au vestiaire.
Là, Elisa ne m'acueillit pas comme chaque fois, car elle était occupée à parler avec une fille de notre âge, que j'avais déjà croisée dans le quartier. Je crois que nos frères étaient à la même école, et que je l'avais vue en allant chercher le mien. Bref, je continue.
Comme le voulait notre habitude depuis l'arrivée d'Elodie(un épisode qui nous faisait un peu-beaucoup, même, pour certaines-honte et qui n'a pas sa place dans ce récit qui deviendrait l'histoire détaillée du niveau 8 de l'ECDL année 2012-2013, ennuyeuse et ordinaire si je l'y mettais), je demandai son nom à la nouvelle, intimidée par notre nomre et notre entente dont elle ne faisait pas (encore) partie. Elle s'appelait Marianne(zut, on allait encore me confondre avec une autre!) et avait quitté son ancienne école pour échapper à l'ambiance qui y régnait.
"Là-bas, personne n'aimait danser, nous expliqua-t-elle. Les filles ne se parlaient pas entre elles et la prof n'arrivait pas à motiver ses élèves, malgré une volonté sans faille.(Là, j'ai dû faire de gros efforts pour ne pas regarder Swan-la discréditer d'office aux yeux de Marianne aurait été mal).
-Depuis combien de temps est-ce que tu fais de la danse?" Cette question classique avait été posée par Katie.
"-8 ans.
-Les filles, il faut y aller, signala Elodie. Les petites ont fini!"
Quad Amélie nous fit faire des exercices par groupes, je proposai spontanément à Marianne de se mettre avec Elisa et moi( je me suis attiré un regard surpris de tout le monde- Eh quoi! Je n'allai pas rester en retrait éternellement!).
Pendant que les autres passaient, elle nous avoua, à Elisa et moi:
"Vous êtes mes premières amies. Je suis contente de vous avoir rencontrées!
-Moi aussi", répondis-je.
Amélie, voyant qu'on ne revoyait pas notre chorégraphie, nous appela:
"Les filles! Si vous parlez, c'est que c'est parfait! Montrez-moi!"
Elle me corrigea:"Marianne! Heu non, Marine! ..." Et c'était parti, on ne nous différenciait plus!"
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Le soir, je trouvai ma mère occupée à parler à une personne-une de ses amies. En me voyant arriver, elles se tournèrent vers moi et l'inconnue me sourit largement en remarquant mon chignon(qui tenait sur ma tête par je-ne-sais quel miracle!)et mon justaucorps bordeaux(ce truc qui ne va à personne) qui dépassait(enfin plutôt dont la jupette dépassait) de mes vêtements enfilés à la va-vite après le cours.
"Alors toi aussi, tu es folle de danse?s'écria-t-elle. Comme ma fille!
-Clara, la fille de Mélodie, est élève au conservatoire de Lyon, m'expliqua ma mère.
-Elle suit le cursus professionnel, ajouta ladite Mélodie. Et toi, où est-ce que tu danses?
-Heu... A l'école près d'ici", répondis-je. J'avais un peu honte de mon école pour amateur, dont le niveau ne rivalisait bien évidemment pas avec celui du conservatoire.
"Cà te dirait de faire sa connaissance? Elle a ton âge à 2 jours près!" me demanda la mère du futur prodige. J'acquiesçait sans trop y mettre d'espoir- ce n'est pas parce qu'elle est douée qu'elle serait sympathique- mais une petite voix me murmurait intérieurement:"Tu imagines, rencontrer une fille qui deviendra peut-être une étoile un jour!"
Cette soirée me conduisit devant la porte d'une loge, un soir où Clara dansait pour une repésentation importante à ses yeux et où elle interpréterait un rôle secondaire dans Casse-Noisette. Sa mère avait eu par chance le droit de venir l'encourager avant le spectacle et je l'accompagnais.
Une fille de mon âge, grande et mince, dont les cheveux étaient tirés en un chignon parfait que j'admirai, se jeta dans les bras de Mélodie. Lorsqu'elle me remarqua, elle me sourit.
"Tu dois être Marine? Maman m'a parlé de toi. Je suis Clara! Tu fais de la danse en amateur,c'est çà? Depuis combien de temps?
-9 ans. Et toi? Tu as commencé à quel âge?
-4ou 5 ans, je ne sais plus. Mais... Toi qui ne danses pas pour être danseuse plus tard, pourquoi est-ce que tu continues? Tous ces cours et ces progrès pour ne rien en faire... Je ne comprends pas!" Je n'ai pas su répondre tout de suite.
Je suis devenue très amie avec Clara, mais elle ne me voyait pas très souvent, cause de son emploi du temps surchargé.
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Nous sommes arrivés à la dernière des salles. Le moniteur nous fait remarquer quelques unes de ses particuliarités, puis nous nous asseyons sur les rochers, les uns contre les autres. Nous éteignonsr nos lampes frontales, puis nous écoutons la grotte. J'ai les yeux grands ouverts, le noir est d'encre. Je m'attends à voir des lueurs dans les roches environnantes, mais rien d'aussi fantastique ne se produit. Seulement la musique laconique des gouttes d'eau s'écrasant sur la pierre. Je me concentre, et bientôt je distingue ma respiration, puis, tour à tour, celle de mes compagnons. Un léger frottement entre ma combinaison et celle de ma voisine, un raclement de gorge, quelques gloussements, mais implacablement, le silence ce réinstalle entre nous . Je scrute l'obscurité, et il me semble percevoir des infimes variations, des rays de lumière presque inexistants. J'ouvre, je ferme les yeux. J'ouvre, je ferme les yeux... Mais je n'arrive pas à décider si ces rayons sont issus de mon imagination ou non. Je suis en plein débat intérieur lorsque le guide interrompe définitivement la minute de silence. A la lumière électrique, je m'apperçoit que, SURPRISE! Ma voisine de gauce n'est pas celle à laquelle je pensais. Comme quoi...
Sur le retour, des camarades se racontent en rigolant comment ils ont flippés, pensant se faire happés à tous moments par un être monstrueux. Je leur dis que moi, au contraire, j'ai immédiatement pensé à la scène magique du chateau dans le ciel. Je me prends un vent, ils sont bien trop absorbés pas leurs histoires d'alliens. Nous reprenons les chemins ainsi que les passages étroits empruntés à l'allé. Ceux-ci nous donnes des difficultés à tous, soit trop grands, soit trop petits. Le mono est resté en arrière pour aidé les derniers, on doit retrouver notre chemin tout seul. Finallement, après de longues ésitations, il nous est enfin accordé de revoir la lueur du soleil.
FIN.
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Ça fait un bon moment que j'ai pas mis des dessins de transformice, pourtant j'en dessine toujours ! Donc je décide de vous les montrer, agrandir les images pour voir les détails !
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"Tourne un peu les épaules, Marine!"me lança Amélie, mon professeur de danse.
"Tourne-les dans la direction opposée à la jambe en attitude derrière." Je me suis exécutée avant de monter sur pointes et de tenter de rester en équilibre.
Les exercices à la barre, qui servent d'échauffement, ont continué, puis Amélie annonce, au grand soulagement de ses élèves, après l'habituelle jambe sur la barre suivie du pied dans la main puis du grand écart(aïe!):
"Allez boire et on passe au milieu."
Aussitôt, c'est la débandade jusqu'au robinet. Elisa, ma meilleure amie dans le cours de danse, s'assit avec moi sur un banc en attendant son tour.
"Je n'en peux plus! me souffla-t-elle.
-Moi non plus!
-C'est normal, ajouta Elodie, la meilleure élève du groupe, et peut-être même de l'école. On se donne toujours à fond pendant les cours.
-Tu te donnes à fond, corrigea Lise M, en dirigeant son regard vers Swan, la seule fille de notre niveau qui ne fait rien pendant les cours et est obligée, la pauvre enfant, de rater la danse à cause de ses devoirs ou d'une maladie quelconque trois à quatre fois par mois.
-Bah, de toutes façons, on est tranquilles cette année, elle ne fait pas le gala. Heureusement d'ailleurs! intervient Katie.
-Par contre, Caroline gâche vraiment une occasion, continua Lise H. Elle fait tant d'efforts, elle devrait y participer!
-Quel dommage que çà tombe la veille du brevet! soupira Andie.
-On n'a qu'à emporter des fiches de révision", suggéra Elodie. Mentalement, je me dis que la 4ème était "tranquille" par rapport à la 3ème. J'observai notre groupe qui comptait une douzaine de filles de 13 à 15 ans, pour celles nées en début d'année. Nous étions 4 en 4ème: Lise H, Mathilde, Elisa et moi; les autres étaient toutes en 3ème: Elodie, Katie, Lise M, Caroline, Swan, Andie, Jeanne, Valérie et Victoire. Il y a aussi Alizée, qui est du niveau au-dessus mais qui pépare le gala avec nous comme elle participe elle aussi à notre passage.
"Les fille! appela Amélie. On ne mets pas trois heures!" Nous redescendîmes en courant(avec les pointes, çà faisait un de ces bruits!) et le cours reprit.
Le soir, je restai à bavarder avec Katie, Elodie et Lise M.
"Je suis fatiguée! me plaignis-je. J'ai mal partout et des ampoules sur chaque millimètre carré des pieds!
-Moi aussi! s'écria Lise M.
-C'est le seul moyen de progresser, donc on n'a pas le choix, mais c'est vrai que je suis épuisée!
-Elodie... Tu es déjà la meilleure de l'école!
-Et alors? J'ai encore beaucoup à améliorer.
-Tout le monde a beaucoup à améliorer, c'est normal!"
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Comme je n'ai pas trop fait d'aquarelle ni de dessin digital, je met quelques croquis. En passant, je pense que vous avez remarquer sur ces dessins, j'ai changé de style ! Parce que le manga c'est pas très original et je voudrais avoir un style plus personel
Un autoportrait :p
Un joker
Une diablesse
Les hanches sont un peu ratées :x
Voilà, dite moi ce qe vous en pensez !
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C'est une petite histoire courte pour m'entrainer. Le gars bizarre représente la mort.
Bien sur, cliquez sur l'image pour mieux voir les paroles en particulier.
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Voici la petite nouvelle ( ou grande) que j'ai écrite pour kaki33
kaki33 l'a déjà lu, il paraît que ça lui a beaucoup plu, maintenant je vous l'a fait découvrir, qu'en pensez vous?
Escusez moi pour les fautes photographes !!
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C'est une BD dont Nahio écrit l'histoire et dont les dessins sont faits par Soeurette et Coeurdefeu.
commentaires :
Coeuredefeu : Chaque page est super longue a faire ; les nemus, le brouillon, le propre, les paroles, les cases et enfin on laque. Tout ça c'est du boulot !!!On a mit beaucoup de temps a la faire, on espère que ca vous plaira.
Soeurette : J'ai hâte de connaître la suite, car Nahio nous fournit une surprise à chaques fois! Ses nemus sont un peu bizzares et difficiles à suivre, cependant, avec l'aide de Coeurdefeu on arrive à faire un meilleurs flux (liaison), et en fait, ça rend bien!^^
Nahio : Et oui, mes nemus sont un peu spéciaux et je m'en excuse, mais sinon, l'histoire ne serait pas elle même spéciale merci aux magnifiques dessins de Soeurette, et aux arrières plans de Coeurdefeu. ^^
Voici les 3 premières pages ; (quand on prend les photos à partir d'un cahier, les feuilles ne son pas a plat mais légèrement surélevées, donc ayez quand même ça en tête ; tout les traits sont droits, parallèles et perpendiculaires ) Désolé pour la qualité exécrable des photos, je les rependrais.
Petite note ; tout ça a été fait dans la plus grande partie en cours XD
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Il fait vraiment sombre, alors on s'arrête de courir, de peur de se ramasser. On se regroupe instinctivement et on marche rapidemente en direction de la forêt; on doit se dépêcher si on veut avoir de l'avance sur le dirlo.
A chaques bouffées d'air frais, à chaques nouveau pas, à chaques regards jetés au ciel étoilé, je me sens revivre. Il fait frais mais je bous interieurement, je ne pense pas au risque, je veux juste entrer dans la grande forêt et m'endormir au milieu des grands arbres agités par le vent. Nous pressons le pas, il doit être près de 2h et il faudrait que l'on se pose.
On marche, on marche, on trébuche puis on recomence à marcher. On ne sait pas combien de temps on est libres, mais on l'est et c'est tout ce qui compte. Quentin gémit assez régulièrement, quelle petite nature ce type ! Simon et David mènent le groupe en discutant de la façon d'on on allait s'installer; Edwige recomence à sourire, malgré sa récente balaffre qui la défigure et moi je suis crevée mais je réfléchis en silence. Je remarque avec un mouvement de satisfaction que nous passons enfin les premiers grands pins de la forêt.
La fatigue se fait cruellemnt sentire après une ou deux nouvelle heure de marche incessante puis comme par magie, nous débouchons sur une petite clairière arrondie et abritée par les arbres. Je lève la tête et vois la lune qui éclaire nos visages, elle n'est pas complète, mais suffisement pour que l'on puisse installer rapidement un camps provisoire. Quentin s'effondre doucement dans l'herbe haute suivit de Florent. Simon et David s'arrêtent, nous regardent avec une légère hésitation puis posent leurs sacs à terre.
"On est à découvert, murmura Guillaume d'une voix épuisée, non ?"
Personne ne lui réponds. Un léger vent nous fait frissonner puis, machinalement, Florent et Edwige sortent des pleds, peu nombreux mais suffisants et nous nous allongeons, légèrement recroquevillés sur nous même. Une à deux minutes plus tard, le silence prends sa place et un sommeil lourd mais agité s'empare de nous.
*****
Je viens encore de me disputer avec mon père, je ne le supporte plus. J'en ais ras le bol de ses réfléxions à 2 balles et de ces rêgles débiles. Je suis dans la cuisine et devant moi, sa plante préférée. Mon père est employé de bureau, mais son passe temps c'est le jardinage ; il tiens plus à ses foutus fleurs qu'a moi, j'en suis sûre ! Je tiens dans ma mains une boîte d'allumettes décorée que j'ouvre avec précotion. Je saisis une des fines baguettes de bois et la lève à la hauteur de mes yeux en la tournant lentement entre mes doigts.
"Je vais brûler sa saleté de plante, on vera qui est le plus chiant !"
J'abaisse ma main en direction de la boîte avec un léger sourir sadique et frotte d'un geste précis le bout rouge de l'allumette contre la surface rêche de sa boîte et elle s'enflamme en une fraction de seconde. Puis la porte d'entrée s'ouvre brutalement et mon père arrive en face de moi.
"Lache cette allumette Sacha, tu n'as pas intêret à faire ça!
- Je fais ce que je veux !"
J'approche vivement le batonet enflamé de ma victime mais mon père attrape fortement mon bras. Je me débat, renverse une bouteille d'alcool puis le temps passe au ralenti. La bouteille de verre éclate au contact du sol, je lache l'allumette qui part rejoindre l'alcool se répendant par terre puis ce mélange s'enflamme en une fraction de seconde. La moquette au sol se change en brasier, emportant chaise, table puis toute la pièce. Les flammes me brûlent, je pousse un cri strident et repousse mon père dans un élan de douleur. Les larmes envahissent mes yeux et je me précipite vers la porte en titubant et en me mordant les lèvres pour ne pas hurler. Mon père me suis-il ? Je me retourne un instant mais la fumée me brûle les yeux et je reprends ma route et toussant.
"PAPA ! je hurle"
Mais aucun bruit ne me réponds appart le crépitement des flammes et du bois qui brûle. Et si mon père mourait ? Ce serait ma faute, mais non, il s'en sortira, tenace comme il est. Alors je sors de l'appartement avec un dernier regards plus rassuré descends les escaliers en criant au feu puis sors de l'immeuble. Je sors mon téléphone de ma poche et je compose à toute vitesse le numéro des pompiers. Mes voisins se précipitent en dehors du batiment qui prend feu à une vitesse incroyable. J'entends des cris puis la sirène de l'ambulance qui se dirige vers nous, ma tête tourne. Quelques minutes après, les derniers habitants de l'immeuble sont évacués, je m'approche des sapeurs en leur demandant si ils ont vu une personne du nom de Tahary. Ils me répondent affirmativement et passant l'immeuble à moitié brûlé et les cendres qui tombent comme de la neige au dessus de nos têtes ébahies, je me sens rassurée mais toujours en état de choc.
Voici une partie de mon véritable passé.
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C'est un illustrateur qui a travaillé pour les graphismes de plusieurs jeux vidéos comme Prince of Persia : Les Sables du Temps ou Assassin 's Creed: Revelations (dont il est le directeur artistique).
J'adore ses illustrations de fantaysie ;
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Ma dernière musique... je ne savais pas quel titre mettre mais finalement j'ai mit "Vestiges ancestraux" car cela me faisait penser à des ruines (genre de monde fantastique) au soleil.
J'ai mit cette image car je trouvais que ca collait avec ce que je pensais (ce n'est pas moi qui l'ai faite bien sur)
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Voici mon PREMIER avatare, que j'ai fait contrainte et forcé par coeurdefeu!^^
J'ai pas réussi à le mettre en entier!U_U
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Chapitre 2 :
Je jetais un coup d’œil à ma montre elle affichait 16 29. Puis je me remettais à écouter le professeur qui se tenait debout au milieu de la salle.
« Bien. J'ai fait cette heure de regroupement pour parler un peu de votre futur. Tiens toi Jean par exemple que souhaiterais tu faire de ta vie ?
-Hum... il réfléchit quelques instants avant de dire, un métier dans la finance je pense. Tous ces chiffres cela me passionnerai.
-Oh je vois que tu as déjà tout prévu, elle poussa un petit cri d'amusement et posa les yeux sur moi, et toi, Louis que voudrais tu faire ? »
Cette question me pétrifia, je ne voulais pas y penser. A chaque fois que je pensais à mon futur j'étais pris d'une panique inexplicable. Au moment où je m’apprêtais à répondre que je n'en avais aucune idée je sentis quelqu'un derrière moi suivit d'une voix dans ma tête. J’avais beau me concentrer, les mots restaient incompréhensibles. Ce n'était que des murmures en répétition. Le professeur me lança un regard interrogateur. Puis tout le monde se retourna .Dans la foule j’aperçus Louise qui me regardait une lueur d'inquiétude dans les yeux. Marie prit la parole pour entraîner les regards sur elle qui étaient fixés sur moi. J'en été soulagé mais le sentiment que quelqu'un était là ne partit pas pour autant. J'essayais de me retourner mais sans résultat.C'était comme si la voix me paralysait. Je me concentrais d'avantage sur celle-ci pour réussir à reconnaître un mot, un son, une syllabe, mais rien. Ce n'était qu'un murmure, mais il me terrifiait.
Un instant après je sentis une rage incontrôlable me prendre et je me levais en hâte faisant tomber ma chaise dans un bruit fracassant. Je pris mes affaires et sortis. Une fois dehors j'entendis un brouhaha dans la salle que je venais de quitter.Sans me retourner je pouvais voir le professeur m'observer à l'entrée de celle-ci. J'accélérais le pas pour fuir ce regard pesant. Une fois dans les escaliers je m'assis et repensais à ce qui venait de ce passer. Pourquoi étais-je partis si brutalement ? J'avais beau retourner cette question dans tous les sens dans ma tête je ne trouvais pas la réponse. Mais un moment un détail me perturba, cette rage, cette haine, cette colère, elle était apparue en même temps que la chose qui était derrière moi avait disparue. Mais cela n'était pas le plus étrange, le sentiment que je croyais être de la peur n'en était pas. Quand il était apparue, un sentiment de sécurité et de soulagement m'avais envahit. Cela était dur admettre mais j'étais soulagé que cette présence était venue.
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Cliquez ici pour la voir en couleurs.
Je ne l'ai pas mise en couleurs ici parce qu'elle est encore plus moche, c'était juste pour les ombres.
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Au cours de japonais, hier, on a fait des haikus. J'étais trop contente! Voici les miens:
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